C’est la dernière née des matières dans nos cuisines et elle constitue une excellente alternative au bois. De plus en plus d’ustensiles sont proposés dans ce matériau, il faut dire que le bambou a quelques arguments.
Le bambou qui n’est pas un bois mais une matière végétale peut se vanter d’un bilan écologique plutôt flatteur. Cette plante fixe jusqu'à 30 % de plus de CO² que les arbres. De plus, son réseau racinaire a l'avantage de limiter l'érosion des sols et ses feuilles étroites laissent passer davantage de pluie que les arbres, offrant ainsi une infiltration d'eau deux fois supérieure que dans les forêts de feuillus. Particulièrement résistant, le bambou se distingue par sa croissance rapide. Il n'a pas besoin d'engrais ni d’autres produits phytosanitaires pour se développer.
Cependant, restons prudents, qui dit succès dit appât du gain. A certains endroits de la planète, la multiplication exponentielle d’exploitations de bambou qui est une plante invasive, se fait au détriment d’autres espèces végétales, contribuant à la déforestation. De plus le bambou vient de loin, essentiellement de Chine, d’Inde, du Vietnam ou encore d’Amérique Latine. Certaines espèces pourraient être cultivables sous nos climats européens. L’avenir d’un bambou mieux géré et local sera peut être la bonne solution.
En attendant, dans nos cuisines, le bambou possède d’autres vertus. D’abord c’est une matière naturellement antibactérienne, idéale entre autre pour les planches à découper. C’est de plus un matériau à la fois résistant, imputrescible, léger et à la finition plutôt flatteuse, agréable au toucher.
Avec quelques ajustements quant à sa culture, le bambou peut donc être considéré comme une matière d’avenir.
Le bambou qui n’est pas un bois mais une matière végétale peut se vanter d’un bilan écologique plutôt flatteur. Cette plante fixe jusqu'à 30 % de plus de CO² que les arbres. De plus, son réseau racinaire a l'avantage de limiter l'érosion des sols et ses feuilles étroites laissent passer davantage de pluie que les arbres, offrant ainsi une infiltration d'eau deux fois supérieure que dans les forêts de feuillus. Particulièrement résistant, le bambou se distingue par sa croissance rapide. Il n'a pas besoin d'engrais ni d’autres produits phytosanitaires pour se développer.
Cependant, restons prudents, qui dit succès dit appât du gain. A certains endroits de la planète, la multiplication exponentielle d’exploitations de bambou qui est une plante invasive, se fait au détriment d’autres espèces végétales, contribuant à la déforestation. De plus le bambou vient de loin, essentiellement de Chine, d’Inde, du Vietnam ou encore d’Amérique Latine. Certaines espèces pourraient être cultivables sous nos climats européens. L’avenir d’un bambou mieux géré et local sera peut être la bonne solution.
En attendant, dans nos cuisines, le bambou possède d’autres vertus. D’abord c’est une matière naturellement antibactérienne, idéale entre autre pour les planches à découper. C’est de plus un matériau à la fois résistant, imputrescible, léger et à la finition plutôt flatteuse, agréable au toucher.
Avec quelques ajustements quant à sa culture, le bambou peut donc être considéré comme une matière d’avenir.